Témoignages anonymes



*je ne saurai me passer de « prière-lumière » : les jours de joie pour verser mon espérance sur ceux qui ont besoin et les jours difficiles pour puiser à mon tour et m'appuyer sur notre communauté.

*Ce qui n'était que routine est devenu le temps fort pour commencer ma journée, un besoin vital qui se poursuit le long des heures par des flashs d'amour, par un verset de psaume qui nous habite.

*Je suis âgée, et j'étais souvent envahie par un sentiment profond d'inutilité, mais chaque jour « Prière-Lumière » me révèle le contraire.

*Je suis seule, et malade : c'est là le lieu de mon témoignage ; je suis heureuse de ma place dans l'ombre là où agit l'invisible fécondité de la prière.

*Plus le monde est troublé, plus le monastère invisible me semble indispensable ; c'est pourquoi je désire continuer à apporter ma petite pierre pour l'édification du Royaume.

*« Prière-Lumière » est pour moi le poumon de mon âme, soutient et ravive mon désir de prière et d'offrande, transforme ma solitude en me rendant plus présent au monde.

*Un prisonnier décédé a dit avant de mourir : « Heureusement, par la prison et avec « Prière-Lumière », si j'ai beaucoup souffert, j'ai pu offrir ».

*Avec « Prière-Lumière », la prière est moins souvent un désert, c'est une entrée dans une réunion de famille. Chacun porte les soucis de tous et les présente au Seigneur.

*La minute de silence pratiquée régulièrement dure plus d'une minute et devient temps d'adoration.

*« Prière-Lumière » m'apporte toujours un précieux réconfort. J'y ai trouvé des sources profondes : l'offrande élargie au monde entier, et la Communion des saints. Et dans ces eaux limpides passent les courants de la paix et de la joie.

*Se savoir unis dans la prière, dans une communauté comme « Prière-Lumière » ou chaque jour les personnes prient les uns pour les autres, permet dans la solitude, de soutenir le moral les jours de cafard et d'offrir nos peines, nos difficultés au Christ qui transforme ainsi le négatif en positif.

*Avec toute l'équipe, je continue à prier, je renouvelle cet engagement car c'est la discrétion, l'anonymat du monastère qui correspond à ma prière.

*La forme des prières proposées convient à ma nature spirituelle et la « prière-offrande-intercession » m’aide beaucoup pour cheminer en essayant d’être plus attentive autour de moi et au monde…et au-delà de cette prière, prier avec tous les amis priants les psaumes, méditer l’extrait de lecture ou d’Evangile nous met tous en communion dans ce service d’Eglise.

J’ai trouvé une astuce pour installer la phrase annuelle dans mon quotidien : je la code comme mot de passe pour mes accès à l’ordinateur ! Cela me permet de penser à l’action du Seigneur chaque fois…Chacun se débrouille avec la vie !

Je continue de croire fort dans les prières du Monastère Invisible. Ce que j’aime dans l’Esprit, c’est que lorsque cela va mal, on marche quand même sans comprendre trop bien ce qui se passe. Faire confiance est vraiment le plus beau cadeau que l’on puisse se faire.

J’ai 91 ans et je suis souvent dans la solitude. C’est un réconfort pour moi de m’unir chaque jour à mes sœurs et frères de « Prière-Lumière ». Prions et bénissons le Seigneur.

Prière-Lumière est un bien précieux reçu avec les quatorzaines. Il efface tout ce qui est solitude car il nous relie à Dieu et à la communauté diverse de tous les priants.

Prier avec le monastère, c’est une bouffée d’air frais, c’est pouvoir s’élever au-dessus des misères de l’âge, de toutes sortes de soucis et les porter autrement. C’est aussi essayer de comprendre ce monde où la violence et le rejet de l’autre ne semblent ne plus avoir de limites. Bienheureux ceux qui répondent par des paroles apaisantes et fraternelles.

Merci de m’aider à être un lien quotidien avec le Seigneur, avec vous et tous les priants de Prière-Lumière. C’est vraiment le sel de ma vie.

Ce feuillet qui nous unit est un phare que je plie dans mon sac, un rappel de l’Espérance en ce qui paraît, aujourd’hui, être un monde en folie.

Ce feuillet continue à me nourrir quotidiennement et profondément en pensant à tous les priants qui m’accompagnent au même moment. Pour rien au monde, je ne voudrais manquer ce rendez-vous  surtout en ce moment où j’ai de gros problèmes de santé. Ce feuillet me suivra en clinique et en maison de repos où je serai pour plusieurs mois. Ce sera un bon soutien, je serai en communion avec vous.

Je voudrais témoigner que lorsque les souffrances restaient fortes malgré la morphine, je priais simplement JESUS en m’unissant à toutes ses souffrances sur la croix, me rappelant que c’est l’AMOUR avec lequel Il les a vécues, qui nous a tous sauvés. L’offrande gratuite de nos souffrances physiques, affectives et morales de toutes sortes unies à son Amour total, me paraît désormais vital. Ceci m’a permis de rejoindre sainte Thérèse de Lisieux dans sa « petite voie » de pauvreté, d’amour et de confiance absolue.

Depuis plus d’un mois j’hésitais à continuer mon engagement pensant ma prière sans valeur et tellement routinière. La phrase du Père René-Luc « si je m’arrête de pédaler, plus de lumière », m’a profondément touchée, alors, courage, avançons !

Oui, je continue mon chemin avec vous : c’est vital pour moi de sentir que d’autres pèlerins m’attendent sur les chemins de la vie. Alors même si je ne sautille pas, j’avance avec vous en confiance.

Cette prière quotidienne est la vraie nourriture spirituelle de la journée. Elle finit par prendre de l’espace dans la journée. On prie Dieu, on supplie, et dans cette faiblesse face à lui, on se sent mieux, réconfortée, en paix.

Durant cet été difficile et déroutant, je me suis sentie portée par les prières du Monastère Invisible. Je rends grâce pour ces moments où j’ai pu surmonter la tristesse en n’oubliant pas la joie du Christ ressuscité.
Même si je peine souvent à avoir la fidélité nécessaire, en communion des saints, ce que vous faîtes dans la simplicité et l’humilité, contribue secrètement mais sûrement à lutter contre les forces du mal qui assaillent le monde et chacun d’entre nous.

Combien m’est précieux cet engagement spirituel journalier. J’essaye de m’y tenir contre vents et marées. Nous savoir une grande famille de priants, nous abandonnant à la volonté du Seigneur et cherchant la paix en nous, dans nos rencontres et pour le monde rend le chemin de l’âge avancé doublé de la maladie, plus abordable.

J’ai été déstabilisée par la disparition de ma paroisse. Du jour au lendemain, on nous a dit que c’était terminé, c’est difficile à admettre. J’espère que le monastère n’est plus menacé, vous êtes ma paroisse plus que jamais.

En ce jour de Noël, nous avons tous formulé devant la crèche une seule prière : Que notre Monastère invisible demeure à jamais.


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